1997_03_06
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SdT volume 3, numero 3.
SOMMAIRE
1- Coordonnees
1 nouveau, 2 changements d'adresse.
2- Actualites
- question de Pierre Dumesnil sur l'ordre des points cardinaux ;
- programme de la journee CONSCILA (vendredi 14 mars) :
"Prototypes et semantique lexicale : bilan et perspectives".
3- Publications, textes
Note de Yves-Marie Visetti :
"Le langage comme mise en scène : une critique".
4- Colloques
- "Journees de lexicologie et de semiotique",
Lyon, 12-13 juin 1997.
- "Hypertexts and hypermedia : Products, tools, methods",
Paris, 25-26 septembre 1997.
- IASS-AIS "Semiotics bridging nature and culture",
Guadalajara, 13-18 juillet 1997.
- Workshop "Les modeles de representation : quelles alternatives ?",
Neuchatel, 3-5 septembre 1997.
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1- COORDONNEES
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[information réservée aux abonnés]
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2- ACTUALITES
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{Pierre Dumesnil, 03/03/97}
Je cherche une réponse à une question assez curieuse que m'a posée un
ami chinois qui fait une these (sous la direction d'Augustin Berque) sur
la comparaison des conceptions françaises et chinoises de l'urbanisme, des
jardins et du paysage.
Parmi les différences notables, il existerait, selon lui, une valorisation
différente des quatre points cardinaux que nous énonçons généralement
selon l'ordre : Nord, Sud, Est, Ouest; quand les Chinois commencent
par l'Ouest... Cette valorisation de l'ouest correspond à celle de
l'intérieur (du milieu), à une dévalorisation du maritime (du commerce);
en tout cas, dans la culture traditionnelle. Pekin est une ville qui
s'étend vers l'ouest en s'éloignant de la mer (selon une géométrie différente
de Paris : par ajouts rectangulaires et non par ondes concentriques).
Autre difference : les villes françaises (europennes en général) sont
"bilatérales" lorsqu'elles sont au voisinage d'un fleuve, alors que les
villes chinoises sont situées d'un même coté du fleuve (cf. Paris et
Pekin). Il y a encore plein d'autres choses passionnantes...
Voici la question :
dans quel ordre les grecs et les romains énoncaient-ils les quatre points
cardinaux ?
J'avoue ne pas le savoir. Qui le sait ?
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Si vous avez des elements de reponse, contactez directement Pierre Dumesnil :
Pierre.Dumesnil@galaxie.int-evry.fr
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{FR, 18/02/97}
Journée CONSCILA
VENDREDI 14 MARS 1997
Institut d'anglais. 10, rue Charles-V. 75004 PARIS
Salle A 44 le matin, A 34 l'après-midi
PROTOTYPES ET SEMANTIQUE LEXICALE: BILAN ET PERSPECTIVES
Journée organisée par Jacques Poitou (Lyon-2)
10 h - Danièle Dubois (CNRS, URA 1575 LPCE) :
Structures cognitives et structures linguistiques.
11 h - Colette Grinevald (ex Craig) (Lyon-2, UMR Dynamique du langage) :
Les classificateurs : de la catégorisation linguistique
à la cognition.
14 h - François Rastier (INALF) :
Parangons et dynamiques qualitatives en sémantique lexicale
diachronique.
15 h - Vincent Nyckees (Lille-III) :
La catégorisation entre cognition et histoire.
16 h - Carine Delplanque (Paris-7) :
Prototermes et phraséologie des discours économiques.
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3- PUBLICATIONS, TEXTES
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{FR, 03/03/97}
Note :
Le langage comme mise en scène : une critique.
Yves-Marie Visetti
Notre dette vis-à-vis de la linguistique cognitive est probablement
impayable, et nous avons bien de la chance de pouvoir lui opposer d'autres
créanciers, tout aussi estimables. On cherchera ici à dresser un bilan
comptable, une sorte de mémoire, qui situe précisément cette linguistique
comme une herméneutique du voir et de l'agir.
Le point de départ : une critique décapante de l'autonomie de la syntaxe
et de la compositionnalité en sémantique, en même temps qu'un rejet de la
formalité logique qui les caractérisait. En leur lieu et place, des
grammaires non productives par elles-mêmes, jouant simultanément sur la
forme et le sens ; des systèmes de schèmes ou de contraintes encadrant une
acceptabilité linguistique qui connaît des degrés ; et enfin une ouverture
encyclopédique de la sémantique, qui la détermine pour l'essentiel comme
catégorisation et qualification des situations cognitives.
A l'appui de ce dispositif théorique, un postulat fondamental : celui de
l'enracinement perceptif, et plus généralement sensori-moteur et
kinesthésique, de tout effet de sens. Postulat qui entraîne pour la
sémantique la fonction structurante de schèmes spatio-temporels et
dynamiques, constituant une vaste généralisation des Gestalten de la
perception visuelle. La description linguistique dégage ainsi, à tous les
étages de complexité, des noyaux de sens qui ne se développent plus en
propositions logiques mais en scènes. Le champ sémantique est alors un
espace vu ou imaginé, déployé par une imagerie sémantique qui géométrise,
centre l'attention, et distingue les forces qui travaillent à la
déformation du champ. Ainsi se dessinent les voies d'une réduction du
parler au connaître, puis du connaître à la perception ou construction
de scène.
Cette conception d'une imagerie à la fois mentale et linguistique se
rencontre parfois sous des formes plus faibles, qui lui donnent le statut
de métaphore ou de simple corrélat de l'activité de langage. Mais même
alors les notions de métaphore ou de corrélat ne sont pas interrogées, et
tout porte à croire que l'efficacité théorique qu'on leur prête renvoie
précisément à la version forte, naïve et réductrice, de nir, si ce n'est dans un monde sensible
qui a depuis longtemps cessé d'être privé : et objets, conduites, et motifs
de vivre doivent naître d'autrui autant que du sujet.
Nous encourageons bien évidemment une telle réorientation phénoménologique
de la sémantique. Nous y participons, même. Et notre soutien sera non moins
évidemment critique. Le théatre, l'opéra, le cinéma sont certes des arts
totaux. Mais en intégrant tous les autres arts à leurs scènes respectives,
ils en font oublier le message singulier. L'illusion de la scène est
décidément trop forte. Tout comme la parole, elle s'efface derrière ce
qu'elle représente ; mais cet effacement, tout comme le fait que c'est une
histoire (et non une simple scène) qui s'y raconte, ne sont pas inclus dans
son espace.
On constate de même que la parole s'efface sitôt prononcée, et l'on
constate également une rémanence de certains effets de sens, notamment
ceux qui se trouvent stabilisés et spatialisés par l'imagination. Et on en
déduit à tort que la parole s'épuise dans une pareille modification d'un
champ qui n'aurait plus lui-même rien de sémiotique. Telle est l'illusion
réaliste de la scène : nous faire oublier sa qualité de signe, nous faire
croire ainsi à l'unité, à la continuité, à la complète extériorité de ce
qui s'y trame.
Une phénoménologie plus rigoureuse nous enseignerait peut-être que le
premier effet de sens est précisément l'effet de signe. Les effets de scène
n'en sont qu'un aspect. Ce que la parole nous manifeste d'abord, c'est la
différence significative quelle maintient entre elle-même et le champ qui
ne se construit qu'avec elle. Le sens de son retrait se manifeste bien sûr
dans la modulation présente du champ, par exemple en tant qu'espace vu ;
mais c'est tout aussi bien dans le temps de la parole suivante qu'on le
découvre. Si l'on en cherche une métaphore qui nous ramène à l'espace,
celle de l'écriture nous paraît s'imposer. Ce serait la métaphore de la
conversion de la parole en écriture, comme fondement de l'acte de
signifier. Le geste de la parole se double de l'acte d'écrire à même le
champ, d'une écriture graphique et plastique, expressive et ostensive à la
fois, qui marque le champ, recompose et qualifie sa topologie, déclenche
des vibrations qui l'affectent en retour. Cette écriture se dissout en
permanence dans la trame du champ ; elle devient trace, et conditionnera
peut-être d'autres paroles, en même temps qu'elle affecte la texture du
champ. L'être contradictoire de cette écriture, comme de ces traces, est à
la fois matériel, corporel, et jamais actuel, seulement présumé. Il serait
commun parce que matériel et présumé, voilà le casse-tête qu'il faut
résoudre.
La sémantique linguistique ne peut donc rien faire d'autre : raconter la
conversion réciproque d'une parole et d'une écriture-dans-un-champ, sans
hypostasier ni le champ ni les écritures, car ils ne valent eux-mêmes que
par l'interprétation qui les fait être, sous la forme d'une perpétuation de
ce procès de conversion réciproque. Il y aurait ainsi une distribution de
la parole en "moments" actifs : d'écriture, de lecture, et d'activation de
traces passées dans la trame du champ. Mais pour cela, une linguistique qui
serait seulement du signe ne peut plus convenir. Tout à l'heure, en effet,
une phénoménologie de la présence nous manifestait la Parole comme signe ;
et c'est maintenant une philosophie de la trace qui la réserve comme texte.
Il s'agit bien d'un mouvement d'aller-retour, qui nous malmène de l'une à
l'autre perspective. Et pourtant il ne faut pas chercher à l'arrêter : car
le savoir ne peut le fixer, seulement nous y inscrire.
Coordonnees de l'auteur :
visetti@laforia.ibp.fr
Universite Pierre et Marie Curie
LAFORIA - Case courrier 169
4, Place Jussieu
75252 Paris Cedex 05
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4- COLLOQUES
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{FR, 23/02/97}
Journees de lexicologie et de semiotique
12-13 juin 1997
Universite Lumiere-Lyon 2
organisées par l'Equipe d'accueil 652 (UPRES) "Langue, lexique et
representation des connaissances" (Groupes de recherche Rhema et Discours
et signification)
Le programme provisoire (au 20/2/97) des communications est disponible en
ftp anonymous a cette adresse :
ftp.univ-lyon2.fr
Descendez de dossier en dossier en suivant le chemin que voici :
/PUB/LYON2/FTP/FAC/LANG/ANGLAIS/BOISSON/
Naturellement, si vous utilisez un "browser" (Mosaic, Netscape, etc.), il
vous suffira de demander directement ceci :
ftp://ftp.univ-lyon2.fr/pub/LYON2/FTP/FAC/LANG/ANGLAIS/BOISSON/
et de telecharger le document JRNLX_1 (volume : 2K)
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{FR, 03/03/97}
Call for papers
Fourth international conference
HYPERTEXTS AND HYPERMEDIA:
PRODUCTS, TOOLS, METHODS
September 1997, 25 - 26
Organized by
Universite Paris VIII
Laboratoire Paragraphe
Hypertextes et hypermedias review
Paris (France)
Submissions (April 2nd 1997) and information requests to:
Imad SALEH or Alain LELU
Universite Paris VIII - Dept. Hypermedias
2 Rue de la Liberte, F 93526 St-Denis Cedex 02
tel.: (33) 01 49 40 67 58 fax: (33) 01 49 40 67 83
E-mail: - conf97@labart.univ-paris8.fr
- lelu@cnam.fr
http://www.lirmm.fr/~mnanard/PVIII-HT-Conference.html
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{FR, 03/03/97}
6th CONGRESS OF THE IASS-AIS
SEMIOTICS BRIDGING NATURE AND CULTURE
JULY 13-18, 1997 Guadalajara, Mexico
Last Reminder
Contrary to the information in the CfP, there is a new deadline:
EXTENDED DEADLINE FOR ABSTRACTS: 15 MAY 1997
We repeat the addresses of the Screening Committees just to make sure that
you have the information at hand:
Screening Committees:
for Europe, Africa, Australia and Oceania
European Screening Committee (Chair):
Dinda L. Gorlee
Van Alkemadelaan 806, NL-2597 BC The Hague, The Netherlands
phone=fax +31-70-3586745, e-mail: avhertum@eti.bio.uva.nl
for North America, South America and Asia
*AND REGISTRATION*
Mexican Screening Committee (Chair):
Adrian Gimate-Welsh
Pacifico 350 H103, Los Reyes, Coyoacan, 04330 México, D.F., Mexico;
fax +52-5-5495764, phone +52-5-6895686 (weekdays),
fax +52-22-430418 (weekends),
e-mail: agw@xanum.uam.mx
The 2nd CfP with all section proposals and round tables is now available at
the web site of UAM
http://www.iztapalapa.uam.mx/semiotica/
and also at the "old" URL in Lund
http://www.bm.lu.se/~arthist/assoc/6IASS97.html
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{FR, 03/03/97}
APPEL A COMMUNICATION
Workshop ouvert sur
Les modeles de representation :
quelles alternatives?
Neuchatel (Suisse), du 3 au 5 septembre 1997
Co-organise par :
Institut de la Methode - Association F. Gonseth
Institut Interfacultaire d'Informatique - Uni Neuchatel
Institut Romand d'Hermeneutique et Systematique - Uni Neuchatel
Institut de Microtechnique - Ecole Polytechnique Federale de Lausanne
Parraine par :
Association pour la Recherche Cognitive
Theme
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Le but de ce colloque est d'interroger le phenomene de la representation
en confrontant les apports des differentes disciplines qui s'y interessent
a savoir la philosophie, la psychologie, les sciences cognitives et
l'intelligence artificielle.
Le probleme de la representation s'articule autour d'un objet representant
(que ce soit un sujet naturel ou artificiel), d'un objet represente et
d'une relation de representation entre les deux. C'est a dessein que nous
citons ces elements sans faire de presupposition sur la preeminence de l'un
ou de l'autre ni de leur existence puisque nous voulons interroger la
representation en allant au dela de toute perspective objectiviste.
La description de cette relation de representation la plus repandue en
intelligence artificielle et dans le courant cognitiviste des sciences de
l'esprit consiste a supposer d'une part que l'objet represente est un objet
de la "realite" (ou objet-en-soi), d'autre part un codage (appele aussi
representation) de l'objet et de ses caracteristiques dans le sujet,
et consiste a developper la relation de ce codage a l'objet. Le
representationalisme a jusqu'ici ete le lien dominant entre les disciplines
en sciences cognitives et a largement influence l'intelligence artificielle.
En opposition, n'avons-nous que le choix du non-representationalisme radical
a la Varela ?
Le but de ce colloque est donc plus precisement :
- de montrer les LIMITES du representationalisme soit pour en proposer des
modifications, soit pour le rejetter et proposer des ALTERNATIVES
radicalement differentes ;
- de preciser les problemes que le representationalisme a pu resoudre et
comment les differentes alternatives peuvent y repondre ;
- de confronter systematiquement les theories et l'EXPERIMENTATION qui va
en faveur ou a l'encontre de ces theories, qu'elle soit neurophysiologique,
psychologique, en vie artificielle ou en intelligence artificielle.
Les alternatives plus ou moins tranchees a cette approche sont nombreuses,
elles consistent :
- a remettre en question tout codage de l'objet et de ses caracteristiques
en tant que tels dans le sujet et donc a proposer des alternatives allant
jusqu'au non-representationalisme ;
- a ne pas poser l'existence d'un objet-en-soi mais seulement d'un
objet-pour-soi (objet representationnel de Descartes) et d'en expliciter
la nature ;
- a ne pas poser le sujet et l'objet comme premiers mais de rendre la
relation de representation soit premiere soit constitutive de l'objet et
du sujet ;
- a mettre methodologiquement entre parentheses l'objet percu afin de se
focaliser sur la construction de la perception d'un objet-pour-soi sans
presupposer du fait de son existence (reduction phenomenologique) ;
- a mettre en avant l'importance de la motricite dans le processus de
construction avec ses multiples facettes qui vont de l'evolution du
couplage systeme(sujet)-environnement a l'experimentation scientifique
en passant par les approches sensori-motrices (constructivisme) ;
- a mettre en avant la dimension sociale qui va de l'evolution de systemes
(sujets) couples entre eux a l'intersubjectivite (role du collectif) ;
- a mettre en avant dans la construction de la relation de representation
le role des systemes d'inscription tels que la langue, le texte, les dessins,
la gestuelle, le spectacle recentrant la representation dans la semiotique
et l'hermeneutique.
On pourra repondre a l'une des questions non exhaustives suivantes et qui se
veulent neutre vis-a-vis des alternatives precedemment suggerees :
- Pour qui y a-t-il representation ? Pour le programmeur (ou l'observateur)
ou pour le robot ou l'etre humain lui-meme ?
- Dans quels cas et en quel sens peut-on dire d'un robot, d'un homme, ou
d'un animal, qu'il represente ?
- Un robot est-il capable d'etablir des relations du type de celles qui
lient le representant au represente ou de se creer un representant et un
represente ?
- Comment la relation de representation se constitue-elle ? En particulier,
quel est le role de l'autre, de la societe, de la culture dans cette
constitution?
- Comment la representation fonctionne-t-elle ? Quel est son role dans la
connaissance et l'action?
- Quelle est la nature de la relation de representation?
Contributions
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Les resumes etendus d'au plus quatre pages A4 devront parvenir a l'adresse
ci-apres au plus tard le 5 mai 1997 :
- sous forme papier en quatre exemplaires;
- ou sous forme electronique en Word ou en postscript (non compresse,
code en binhex4).
Les accuses de reception ainsi que le resultat des evaluations seront
communiques au PREMIER auteur de chaque contribution autour du 10 juin 1997.
Nous avons l'intention de publier une selection des contributions et
conferences invitees.
Calendrier
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Date limite pour les resumes : 5 mai 1997
Reponse aux auteurs : 9 juin 1997
Contributions definitives : 2 aout 1997
Colloque : 3-5 septembre 1997
Langue
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Francais et anglais
Contributions et inscriptions
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Association Ferdinand Gonseth
Colloque "Representation"
P.O. Box 1081
CH-2501 Bienne - Suisse
tel.(le matin)/fax : +41 (032) 323 83 20
Email : logma@access.ch
Renseignements
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Jean-Pierre Muller
IIIA - Universite de Neuchatel
rue Emile Argand, 11 - CH-2007 Neuchatel - Switzerland
Email : Jean-Pierre.Muller@info.unine.ch
Page WEB
--------
http://www.access.ch/logma/afg/clq97.htm
Comite d'organisation
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Francois Bonsack IM - AFG
Jacques Jacot IMT - EPFL
Clairette Karakash IRHS - UniNE
Jean-Pierre Muller IIIA - UniNE
Nicolas Peguiron IM - AFG
Comite de programme preliminaire
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Bruno Bachimont (DIAM - SIM/AP - Hopitaux de Paris - France)
Ioanna Berthoud (Uni Geneve - Suisse)
Jean-Michel Besnier (Communication et Politique - Paris - France)
Francois Bonsack (Lausanne - Suisse)
Paul Bourgine (CREA - France)
Christian Brassac (Uni Nancy - France)
Jean-Jacques Ducret (SRED-DIP Geneve - Suisse)
Nils Ferrand (LEIBNIZ/IMAG - France)
Clairette Karakash (Uni Neuchatel - Suisse)
Charles Lenay (UTC - France)
Jean-Pierre Muller (Uni Neuchatel - Suisse)
Anne Nicolle (Uni Caen - France)
Pierre-Yves Raccah (CNRS - Paris - France)
Francois Rastier (Uni Paris IV - France)
Vincent Rialle (TIMC/IMAG - France)
Luc Steels (Uni Bruxelles - Belgique)
John Stewart (UTC - Institut Pasteur - France)
Jean-Claude Tabary (France)
Guy Tiberghien (Inst. Sciences Cognitives - Lyon - France)
Bulletin d'inscription
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