MARION PESCHEUX
Résumé : Après avoir pris la précaution de limiter son ambition à effectuer une réduction théorique autour des mécanismes d’anaphorisation, l’auteur propose de considérer le processus d’anaphorisation sous diverses « facettes » souvent étudiées : une facette « discursive », où les théories insistent sur l’aspect coordination syntactico-sémantique effectuée par deux termes (« source » et « anaphorique ») ; une facette « référentielle », où les théories insistent sur le renvoi de l’anaphorique et de la source à un référent qui peut être le même. Quoi qu’il en soit, le mécanisme repose sur des opérations mentales qui en constituent l’arrière plan cognitif, qui sera à présent esquissé dans cet épisode.
MARION PESCHEUX
Résumé : Se limitant à effectuer une réduction théorique autour des mécanismes d’anaphorisation, l’auteur propose de considérer le processus d’anaphorisation sous diverses « facettes » souvent étudiées : une facette « discursive », où les théories insistent sur l’aspect coordination syntactico-sémantique effectuée par deux termes (« source » et « anaphorique ») ; une facette « référentielle », où les théories insistent sur le renvoi de l’anaphorique et de la source à un référent qui peut être le même. Ces « coordinations » ou cette référence repose sur des opérations mentales, la « reconnaissance » d’isotopies qui en constituent l’arrière plan cognitif, esquissés à l’épisode 2. Revenant aux expressions anaphoriques, cette dernière étape tentera de proposer de voir des « degrés » dans l’anaphorisation mais aussi son aspect argumentatif (sorte de retour à l’épisode 1).