Résumé : Le chapitre 74 de La Vie mode d’emploi de Georges Perec, intitulé « Machinerie de l’ascenseur 2 », se présente comme une rupture herméneutique dans l’ouvrage, par sa dimension onirique mais aussi par ce qu’il semble révéler sur l’immeuble lui-même. Ce texte échappant donc à la seule logique de la contrainte, nous l’envisageons selon trois axes de lecture, en référence à l’enfer dantesque, aux villes invisibles de Calvino, et à l’holocauste. Enfin, un raisonnement conclusif permet de tempérer la pertinence tant de l’analyse par la logique de la contrainte que selon ces axes et de montrer comment ce chapitre constitue ni plus ni moins qu’une des conditions de l’existence de l’immeuble.
Pour citer ce document
CHRISOPHE CUSIMANO et JOACHIM DUPUIS (2013) «Où la machinerie de l’ascenseur conduit-elle dans La Vie mode d’emploi ?», [En ligne], Volume XVIII - n°2 (2013). Coordonné par Christophe Gérard,
URL : http://www.revue-texto.net/index.php/http:/www.revue-texto.net/1996-2007/archives/parutions/archives/parutions/marges/docannexe/file/4227/docannexe/file/3848/docannexe/file/2557/images/docannexe/file/Archives/SdT/docannexe/file/2345/docannexe/file/Archives/Archives/Parutions/Marges/docannexe/file/3312/index.php?id=3197.