RECOMMANDATIONS AUX AUTEURS
Feuille de style
GÉNÉRALITÉS
Police par défaut : Arial, 11 points, sauf indication spéciale
pour certains champs (voir ci-dessous).
Alignement : justifié, sauf indication spéciale pour
certains champs (voir ci-dessous).
LES CHAMPS
Dans une publication on distingue 6 champs différents, en ordre linéaire :
1. L'en-tête :
Police par défaut. Taille de la police : 12 points (sauf
pour l'affiliation, dont la taille est par défaut - 11
points)
Alignement : centre.
L'en-tête contient le titre, le nom de l'auteur et son
affiliation :
1.1. Titre : en capitales grasses, 12 points.
1.2. Auteur : prénom en minuscules grasses, nom
en capitale grasses, 12 points
1.3. Affiliation : minuscules grasses, taille normale (11 points)
La double affiliation est séparée par une barre oblique.
Modèle :
SÉMANTIQUE ET MODÉLISATION
Robert DUBOIS |
2. Le sommaire :
Police par défaut.
Alignement : gauche, en retrait.
Numérotation :
1.
1.1.
1.2.
1.2.1.
1.2.2.
2.
NB. Attention à ne pas dépasser trois niveaux de profondeur.
Pour plusieurs niveaux de profondeur reprendre en lettres
:
3.2.2.
A.
a)
b)
B.
3.2.3.
Si la publication contient des chapitres, utiliser la
numérotation romane :
Chapitre I.
1.
1.1.
1.2.
1.2.1.
1.2.2.
2.
Chapitre II.
Modèle :
SOMMAIRE : |
3.
Le résumé (optionnel)
Police par défaut ; 10 points ; style : italique.
Alignement : justifié, en retrait.
Langue : français et/ou anglais
Résumé : Nous nous proposons dans cette étude de revenir sur l’examen théorique du concept d’afférence dans Sémantique interprétative de François Rastier (1987). Après avoir montré que ce concept est une pièce maîtresse pour une sémantique d’inspiration structurale qui s’efforce d’intégrer le niveau des normes dans ses descriptions, on tente de cerner et d’apprécier la cohésion épistémologique du concept au sein de la théorie ; on s’efforce ensuite de l’évaluer sur le fond des distinctions théoriques d’Eugenio Coseriu (système/norme/parole ; architecture/structure) qui ont étayé les propositions de Rastier. On montre ainsi que le concept d’afférence, au prix d’un nécessaire effort de clarification théorique, témoigne d’une forte cohérence dans le prolongement des propositions d’Eugenio Coseriu pour une linguistique de la norme. Abstract: With this study, we intend to deal with the theoretical consideration of the afference concept in François Rastier’s Interpretative Semantics. After showing that this concept is a major feature for a semantics of structuralistic inspiration, which aims at integrating the level of the norms into its descriptions, we try to outline and estimate the epistemological cohesion of the concept within the theory. Then we attempt to assess it with Eugenio Coseriu’s theoretical distinctions (system/norm/speech ; architecture/structure) which supported Rastier’s propositions. We thus show, at the cost of an essential effort of clarification, that the afference concept attests a strong consistancy that prolongs Eugenio Coseriu’s propositions for a linguistics of the norm. |
4. Le
corps du texte :
Police par défaut (Arial, 11 points).
Alignement : justifié.
NB. Dans le corps du texte, les soulignés sont exclus (à
remplacer par des italiques ou italiques grasses). Les mots en
capitales sont à éviter.
Modèle :
1. Positions et propositions |
Modèle :
Considérons les deux extraits suivants : Ce qu’il y a de plus beau de toutes les choses données par Dieu, c’est ce corps d’Hélène Lagonelle, incomparable, cet équilibre entre la stature et la façon dont le corps porte les seins, en dehors de lui, comme des choses séparées. Rien n’est plus extraordinaire que cette rotondité extérieure des seins portés, cette extériorité tendue vers les mains. (Duras, L’Amant) Ce visage noir était anguleux et creusé dans tous les sens. Le menton était creux ; les tempes étaient creuses ; les yeux étaient perdus en de jaunâtres orbites. Les os maxillaires, rendus saillants par une maigreur indescriptible, dessinaient des cavités au milieu de chaque joue. Ces gibbosités, plus ou moins éclairées par les lumières […] (Balzac, Sarrazine)
|
Modèle DOC (1) :
a) La topique cherche à identifier les lieux communs3 qui sous-tendent les argumentations. Développée par des courants néo-rhétoriques (Perelman) ou pragmatiques (Ducrot), elle prolonge la réflexion d’Aristote et de la tradition rhétorique sur les axiomes partagés qui peuvent entraîner la conviction4. |
Modèle HTML (2) :
a) La topique cherche à identifier les lieux communs [3] qui sous-tendent les argumentations. Développée par des courants néo-rhétoriques (Perelman) ou pragmatiques (Ducrot), elle prolonge la réflexion d’Aristote et de la tradition rhétorique sur les axiomes partagés qui peuvent entraîner la conviction [4]. |
Modèle schémas :
Fig.1 : La vision de Dieu et le contexte socioculturel conditionnant les stratégies de discours |
Modèle tableaux :
Composantes sémantiques |
Métamorphismes |
Transpositions |
Thématique |
Transformation d’un thème |
Changement d’isotopie |
Dialectique |
Transformation narrative |
Changement de séquence |
Dialogique |
Changement de foyer |
Changement de ton |
Tactique |
Changement de succession |
Changement de rythme sémantique |
Tabl. 2 : Transformations de molécules sémiques de forme (métamorphismes) et de fond (transpositions)
5. Les notes :
Police par défaut. Taille de la police : 10 points.
Alignement : justifié.
Position :
Modèle 1 :
1 On s’étonne que l’on ait pu pratiquer une linguistique sans corpus, où des exemples forgés et sans contexte tenaient lieu de domaine empirique. 2 Voir notamment la revue TAL, 1995, 36, 1-2 (numéro spécial dirigé par Benoît Habert). Cette évolution n’a rien de linéaire, et Benoît Habert note justement que l’on nomme les corpus arborés tree-banks (comme si un texte pouvait se réduire à une suite de phrases). 3 Ils reposent en effet sur le préjugé que la langue est homogène et identique à elle-même dans tous les textes et dans toutes les situations de communication. |
Modèle 2 :
NOTES [1] On s’étonne que l’on ait pu pratiquer une linguistique sans corpus, où des exemples forgés et sans contexte tenaient lieu de domaine empirique. [2] Voir notamment la revue TAL, 1995, 36, 1-2 (numéro spécial dirigé par Benoît Habert). Cette évolution n’a rien de linéaire, et Benoît Habert note justement que l’on nomme les corpus arborés tree-banks (comme si un texte pouvait se réduire à une suite de phrases). [3] Ils reposent en effet sur le préjugé que la langue est homogène et identique à elle-même dans tous les textes et dans toutes les situations de communication. BIBLIOGRAPHIE |
6. La bibliographie
Police par défaut.
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Tous les formats standards sont acceptés : liste alphabétique classique, liste alphabétique par premier élément et date, liste numérique alphabétique, liste numérique par ordre d'apparition.
La liste alphabétique classique a le format suivant :
BIBLIOGRAPHIE
ADAMOWICZ, Elza. Narcisse se noie : lecture
de l'Union Libre d'André Breton, Romanic
Review, 1989, n°80, p. 571-81. |
La liste alphabétique par premier élément et date a le format suivant :
BIBLIOGRAPHIE
ADAMOWICZ, E. 1989. Narcisse se noie :
lecture de l'Union Libre d'André Breton,
Romanic Review, n°80, p. 571-81. |
La liste numérique alphabétique a le format suivant :
BIBLIOGRAPHIE
|
La liste numérique par ordre d'apparition a le format suivant :
BIBLIOGRAPHIE
|
Pour plus de détails sur les standards bibliographiques, voir La typologie des références bibliographiques
7. Les annexes :
Les annexes suivent la même feuille de style.
NB. Ils doivent être séparés dans des fichiers autonomes.
Pour les questions de mise en forme, adressez-vous à rossitza_kyheng@gmail.com
La rédaction